Zéro déchet, contenants recyclables, circuit local de l’eau, logistique intelligente des consommables. Chez Ô’s Arcades, il est un engagement éthique qu’on ne prend pas à la légère, c’est l’empreinte écologique de notre activité. A la mode du tout Ô’ser à Vielsalm

Alors, ce n’est pas pour faire joli qu’on le souligne, ni pour défendre une cause planétaire.

C’est juste un choix logique d’économie responsable.

Economiquement, cela nécessite des investissements qui sont relativement importants et des choix parfois cornéliens.
Tout le monde y gagne, y compris les clients qui, lors de l’addition, ne financent pas un remplissage inutile des poubelles.

Ah oui ! C’est comme çà chez Ô’s Arcades.

D’ailleurs, ce ne sont pas les exemples qui manquent à l’appel…

• La gestion de l’eau par exemple. Vous commandez un verre ou une bouteille d’eau ? Chez Ô’s Arcades, on vous sert de l’eau microfiltrée. Cela pourrait s’appeler aussi de l’eau zéro kilomètre : au comptoir de la Buvète, il y a une pompe équipée d’un système de filtration super performant, relié en direct au circuit de distribution de l’eau. A la commande, l’eau est filtrée, refroidie pour être servie glacée. Pétillante ou plate si ça vous chante. Les avantages ?… Pas de stock inutile de casiers et de bouteilles, pas de transport, moins de manipulation, pas de capsules métalliques dans les poubelles. Et surtout une eau locale qui, en qualité, vaut aussi bien, si pas mieux, que les grandes marques. Cette eau de source locale zéro km, elle foisonne également pour les limonades maison « Jeanette »… Du coup, pas de stock de boissons industrielles, patati patata. Tu as compris…

• La mousse, la mousse ! On ne parle pas de la mousse de vaisselle mais bien des bières Ô’Poil, la mousse de référence de la Buvète Ô’s Arcades. Fabrication artisanale mise en bouteille recyclée. A emporter aussi dans un casier en bois recyclable et ré-utilisable (on a vu des gens qui l’utilisaient pour faire des boites à outils). Et quand tu joues le jeu de ramener ta fraise, ton casier et ses bouteilles vides, l’échange standard est moins cher. Même pour la capsule, on réfléchit à un truc un peu sympa d’utilisation intelligente. Un peu de patience…

• Autre exemple, la vaisselle. A l’emporter ou en service à table, le choix est fait d’utiliser des contenants recyclables et de limiter autant que possible les accessoires qui finissent à la poubelle au premier usage. Il est certain que ça augmente considérablement le volume de vaisselle. Mais, après tout, peu importe et ça donne du travail à celui qui veut faire la vaisselle. Surtout qu’à la vaisselle, chez Ô’s Arcades, les machines de tout poil sont licenciées d’office pour laisser place à l’huile de coude bien moins énergivore.

• Emballage, emballage quand tu nous tiens. Dans la cuisine, l’athlète de compétition est celui qui joue le moins avec la pédale de la poubelle. Pour les consommables non alimentaires, on réfléchit les achats : le mois d’emballage possible en carton ou en plastique. Et pour les denrées, on privilégie les produits frais, on travaille le vrac, on fait du circuit court quand ça tient la route. Quoi qu’il en soit, la gestion et le triage des déchets sont poussés à l’extrême tout en respectant les normes d’hygiène.

Peut-on faire davantage ?… Oui. Même que, vous, en tant que client, vous pouvez aider et contribuer. Ainsi, pour l’exemple, le plus petit pourboire que vous laissez est utilisé de manière intelligente.

Les monnaies sonnantes sont investies dans l’achat d’un matériel utilo-éco-responsabilito... (C’est quoi çà ?). Et si vous n’avez pas de monnaie à laisser, vous pouvez donner un objet de déco vintage, que le chef se fera un plaisir d’installer dans la Buvète ou une de ses chambres inattendues…